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29 mars 2015

Chirurgie bariatrique.

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Les opérations chirurgicales telles que le by-pass, l'anneau gastrique ou la sleeve  peuvent sauver des vies de personnes en obésité morbide mais elles ne sont pas sans danger. Le Daylimail nous apprend que des chirurgiens du programme de santé national de Grande-Bretagne travaillent en ce moment sur une nouvelle technique qui n'impliquerait aucune incision.

Ils ont imaginé une intervention permettant de réduire la taille de l'estomac en le repliant plusieurs fois sur lui-même. Le médecin introduit  un tube dans la gorge du patient et le fait descendre jusqu'à l'estomac. Puis un fil est glissé dans le tube et pousse les tissus de l'estomac qui se replient sur eux-mêmes. Cette intervention serait moins invasive et obligerait le patient à manger moins.

Pfiouu, je n'ai rien contre, mais ce n'est définitivement pas pour moi. QUELLE HORREUR ! Se faire charcuter de la sorte juste pour être "obligée" de manger moins.

Est-ce donc si difficile de se nourrir convenablement ? Est-ce à la société de prendre en charge les dépenses liées à une nourriture orgiaque ? 

 A ce propos, je vous propose une vidéo de Monsieur José BOVE qui me fait bien rire. 

Voilà ! nous ne sommes pas OBLIGES de manger du crottin. Et ce ne sont pas les opérations chirurgicales qui vont empêcher les gens de se faire "des petits plaisirs" (c'est très à la mode ça "les petits plaisirs") en gobant tous les étrons que l'industrie alimentaire concocte dans ses laboratoires.

Quand je travaillais et que j'arrivais dans la salle de repas avec mes petites potées, mes collègues me disaient "ah ! mais moi je n'ai pas le temps de préparer des choses comme ça... " Ce à quoi je leur répondais, qu'il ne demande pas plus de temps de faire cuire un chou-fleur ou un artichaut en autocuiseur que de faire bouillir  de l'eau dans une casserole et y mettre des pâtes à cuire. Sans compter que bien des fois, j'arrivais avec mes "frichtis" repas composés de divers petits légumes et viandes non consommés lors des derniers repas...  et là, je n'avais rien à faire du tout.

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